vendredi 30 janvier 2015

Jeunes diplômés sans expériences professionnelles : comment trouver un emploi ?

Jeunes diplômés sans expériences professionnelles : comment trouver un emploi?


@123RF
La période de recherche d’emploi n’est pas une période facile à vivre.
Plus vraiment étudiant, pas encore salarié… vos journées ne sont pas très drôles – sans compter que votre entourage n’est peut-être pas très aidant.
Entre mamie qui vous demande à chaque fois que vous la voyez si vous avez trouvé du travail (oui mamie j’ai trouvé du travail mais c’est un secret !) et vos parents qui vous demandent si vous ne devriez pas plutôt chercher du travail plutôt que de regarder le dernier épisode de Game of Thrones, vous n’êtes pas aidé.
Sans compter les réponses négatives (ou les absences de réponse) des recruteurs qui viennent sans cesse vous rappeler que vous n’avez pas assez d’expérience. Eh oui, car en tant que jeune diplômé, vous êtes sans doute souvent mis face à votre manque d’expérience professionnelle.
Et vous vous posez sans doute la fameuse question : comment avoir de l’expérience professionnelle alors que personne ne veut me donner ma chance ?
J’ai une bonne nouvelle pour vous : vous pouvez mettre à profit votre recherche d’emploi pour vous faire de l’expérience professionnelle.
Petite revue de ce que vous pouvez faire pour gagner de l’expérience professionnelle !

(1)Faites-vous votre expérience professionnelle : impliquez-vous dans une association

Souvent, les jeunes diplômés ont un CV vide car ils n’ont jamais travaillé. Ils estiment qu’ils n’ont pas d’expérience professionnelle.
Mais une expérience n’est pas nécessairement professionnelle. Il vous est possible d’apprendre beaucoup de choses sans percevoir de rémunération en échange. D’ailleurs, les deux ne sont en réalité absolument pas lié : vous a-t-on déjà payé pour aller à l’école ?
Un des meilleurs endroits pour se créer une expérience qui sera facilement transposable dans le monde du travail, ce sont les associations.
En effet, la principale différence entre une entreprise et une association, c’est que la première a pour but de gagner de l’argent contrairement à la deuxième (en général).
Au-delà de ça, on peut retrouver un fonctionnement assez similaire : l’association est composée d’un bureau ayant des responsabilités (comme la direction d’une entreprise), elle dispose d’un budget qu’elle ne doit pas dépasser (elle ne doit pas perdre d’argent, l’entreprise non plus), elle mène des projets qui nécessitent du travail en équipe, de l’organisation, des responsabilités (comme le travail en entreprise).
L’association est vraiment un cadre dans lequel il est possible d’acquérir une expérience quasi-professionnelle. Et le gros avantage, c’est que comme il s’agit de bénévolat, vous pourrez y accéder beaucoup plus facilement pour y faire vos preuves et progresser.

(2) Mettez toutes les chances de votre côté : améliorez votre niveau en anglais

Il y a une chose qui a toujours fait la différence pour moi : la maîtrise de l’anglais à un niveau professionnel.
Absolument tous les postes que j’ai occupés, y compris les stages, nécessitaient d’avoir un niveau d’anglais professionnel.
Je pense que la maîtrise de l’anglais est bien souvent ce qui a fait la différence avec les autres candidats. Car – croyez-le ou non – j’ai souvent été en compétition avec des juristes qui ne parlaient pas anglais.  Et finalement, c’est moi qui ai obtenu le stage ou le poste !
L’anglais est donc un réel atout que vous devez mettre de votre côté. Cela peut faire la différence entre être embauché ou non.
Dans certains secteurs, et notamment en région parisienne, vous serez même en compétition avec des juristes qui parlent TOUS anglais. Dans ce cas, l’anglais n’est plus ce qui fait la différence entre deux candidats. Par contre, si vous ne parlez pas bien anglais, cela vous éliminera d’office.
Profitez de votre période de recherche d’emploi pour améliorer votre niveau d’anglais. Il ne s’agit pas à proprement parler d’une expérience professionnelle, mais la maîtrise de l’anglais peut faire pencher la balance de votre côté, même face à un candidat ayant plus d’expérience professionnelle que vous !

(3) Développez votre expérience professionnelle : faites des stages

Si vous venez de faire votre stage de fin d’études et que vous cherchez du travail, vous n’avez sans doute pas envie de refaire un stage.
Pourtant, c’est parfois une très bonne solution pour développer votre expérience professionnelle. Accepter un deuxième stage de 6 mois, ça peut être râlant. Mais faites le compte : quand vous sortirez de là, vous aurez un an d’expérience. De quoi avoir un profil bien plus intéressant pour les recruteurs !
Vous aurez peut-être l’impression de perdre du temps, mais c’est faux. La recherche d’un premier emploi peut facilement prendre plus de 6 mois : 6 mois que vous aurez occupés à développer votre expérience professionnelle tandis que vos camarades n’auront rien fait.
Et avec un peu de chance, vous trouverez votre premier emploi pendant ce stage. N’oubliez pas qu’un candidat est toujours plus attractif quand il est déjà en poste : c’est également vrai pour les stages !

(4) Ajoutez une ligne à votre CV : trouvez un job alimentaire

La question du job alimentaire est souvent discutée pour les jeunes diplômés en recherche d’emploi.
D’un côté, certains disent que c’est dévalorisant pour un Bac+5 de faire un job alimentaire. Une honte, une perte de temps.
De l’autre, certains vous diront que c’est une très bonne démarche qui montre au recruteur que vous êtes dynamique.
Je pense que la première question à se poser est surtout : avez-vous besoin de travailler ? Il ne faut pas oublier qu’il faut bien manger et payer le loyer – c’est d’ailleurs pour ça que vous cherchez un travail à la base.
Si vous avez le luxe de pouvoir vous poser la question, vous avez de la chance.
Personnellement, je n’ai rien contre les jobs alimentaires. Ce n’est pas ce qui me ferait éliminer un CV. Je trouve même que c’est effectivement une preuve de dynamisme – et également de pragmatisme (encore une fois, il faut bien payer le loyer… ou vos vacances sur la côte !).
De plus, un job alimentaire, c’est une expérience professionnelle. Cette expérience peut vous aider à développer vos compétences et vous apprendre le travail en équipe, l’organisation, etc. Un recruteur qui voit que vous avez un job alimentaire saura que vous connaissez les contraintes liées au monde du travail : respect des horaires et de la hiérarchie, etc.
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Développez votre expérience professionnelle dans tout type de job alimentaire !
Attention cependant, je pense qu’il est difficile – mais pas impossible – de concilier une recherche d’emploi sérieuse avec un emploi à temps complet.
Si vous avez le choix, privilégiez un job à mi-temps qui vous permettra de gagner un peu d’argent, de sortir de chez vous et d’apprendre de nouvelles choses tout en vous permettant de consacrer suffisamment de temps pour votre recherche d’emploi.

(5) Un dernier conseil : prenez le bon côté des choses !

La période de recherche d’emploi peut vous paraître interminable. Mais prenez le bon côté des choses : vous avez du temps pour vous, pour vos loisirs, votre famille, vos amis.
Le temps, c’est cette chose sur laquelle vous pourrez faire une croix quand vous aurez trouvé votre premier emploi 
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jeudi 29 janvier 2015

Comment séduire un recruteur : 7 points essentiels

Comment séduire un recruteur : 7 points essentiels

Afin de réussir à séduire un recruteur lors d'un entretien d'embauche, il vous faut développer un certain charisme dont nous vous en donnons les points essentiels.

© iStockphoto
Développer son impact personnel, c’est acquérir une forme d’autorité naturelle. L’impact personnel est travaillé par les leaders, et il doit être travaillé par tout professionnel voulant augmenter son influence.
J’ai appris certaines des notions qui suivent dans mes propres expériences, mais aussi dans certains enseignements que l’on donne aux bons conseillers et aux bons vendeurs.
Ici, plus que n’importe où ailleurs dans la communication, c’est le non verbal (les gestes, les attitudes) qui prime sur le contenu verbal (ce qui est prononcé, les phrases, le contenu « intellectuel »).
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1) Votre objectif
C’est le point numéro un, car le plus important: un objectif simple et précis doit rester en permanence dans votre esprit. Cela peut paraître un lieu commun, mais se fixer un objectif est le meilleur moyen pour l’atteindre, et arriver quelque part. Les leaders savent où ils vont!
Où voulez-vous arriver? Qu’est-ce-qui sera génial si vous l’atteignez?
Cet objectif doit être votre motivation principale, et vous donner l’énergie nécessaire pour surmonter les inévitables obstacles que vous allez rencontrer. Imaginez cet objectif ainsi que les moyens pour y arriver, en détail, pour vous mettre en route (images, animation, sons, toucher etc.).
De même, ayez un plan B si les choses ne se passaient pas comme prévu. Ainsi vous serez serein et vous serez moins sujet à la colère ou à la panique. « Pas de problème j’utilise mon plan de secours, tant pis pour lui… »
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2) Votre curiosité
Vous devez être le Sherlock Holmes de la communication. Être curieux de tout ce qui préoccupe votre interlocuteur.
Je viens de parler de votre objectif. Là c’est son objectif à lui qu’il faut détecter, ou même carrément demander. Car c’est en lui permettant d’atteindre ses objectifs qu’il vous aidera a atteindre les vôtres. Si vous êtes curieux et intéressé, vous saurez toucher ses émotions et sa motivation.
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3) Votre conviction
Je l’ai déjà dit dans mon article sur l’art de parler en public: « pour être convaincant, il faut être convaincu ».
Premièrement en étant convaincu vous donnerez de l’énergie à votre interlocuteur, ce qui n’est pas un luxe. Récemment j’ai reçu la visite d’un conseiller financier qui était très professionnel, mais qui manquait clairement de conviction et donc d’énergie. Son offre était intéressante et bien présentée, elle était « pro ». Mais les choses ne sont pas si simples: j’étais en pleine forme avant son arrivée, et malheureusement pour lui au bout de 30 minutes d’écoute je voulais absolument retrouver mon cher oreiller. Ce conseiller manquait de pêche. Pas génial pour me convaincre et toucher mes émotions…
Tout aussi important: les leaders ne sont pas les plus brillants, mais toujours les plus convaincus. Ce qui correspond à une absence de doute. Car le doute est contagieux et se transmettra inévitablement à votre interlocuteur. Bonne nouvelle pour vous, l’inverse est aussi vrai.
Mais comment ne pas douter? Douter de soi est une preuve de remise en question, d’intelligence non?
Oui, je suis parfaitement d’accord, ce doute sur vos compétences, vos projets, votre personnalité etc. doit se faire, mais AVANT de tenter de convaincre quelqu’un. Pendant votre communication, c’est terminé, place à l’action et la conviction.
Dernière chose: pour être convaincant, il faut être convaincu, et pour être convaincu il faut dire la vérité. La vérité a un impact qui est indiscutable et qui se voit sur votre visage, dans votre voix, vos gestes et votre posture. Dites ce que vous savez être vrai. Si vous n’êtes pas sûr de quelque chose, n’inventez rien car ça se verra. Avouez votre ignorance de façon ferme et… convaincante. « Ah, ça je n’en sais rien du tout! »
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4) Votre clarté
C’est le seul point où le contenu verbal est important. Car si vous voulez marquer votre interlocuteur, vous devez lui parler de manière directe, sans détours inutiles.
Évitez au maximum les: « Excusez moi de vous poser cette question mais j’aimerai savoir… » ou « J’aimerai savoir s’il était possible que… » etc. Posez votre question directement, avec douceur, et votre impact sera maximal.
Enfin, n’hésitez pas à travailler les phrases qui correspondent à toutes vos idées fortes quand vous êtes seul. Vos messages essentiels doivent être travaillé à l’avance, et vous deviendrez terriblement charismatique. Les meilleurs orateurs et improvisateurs ont beaucoup préparé leurs messages chez eux!
« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement » (Diderot).
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5) Votre regard
Regardez la personne dans les yeux, en jetant un coup d’oeil ailleurs un bref instant de temps à autre pour ne pas trop la gêner. Votre regard doit être franc et direct. Il doit refléter votre intention et votre conviction.
Enfin, votre regard doit refléter votre intérêt pour votre interlocuteur, votre curiosité et votre bienveillance. Pour faire cela… il faut ressentir de la bienveillance envers son interlocuteur! N’oubliez pas d’avoir en tête votre objectif quand vous rencontrez quelqu’un. Et cette personne va vous aider à atteindre votre objectif si vous êtes ouvert et bienveillant.
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6) Votre voix
Votre interlocuteur doit pouvoir prendre vos paroles et les laisser raisonner à l’intérieur de son mental. Pour cela, il faut avoir une voix posée, articulée, « placée », au bon volume, au bon débit et bien accentuée. Rien que ça!
Pour avoir une voix posée, il faut être calme et serein en toutes circonstances, même si l’on vous critique ou agresse verbalement. Ni énervement, ni impatience, ni gêne. Vous aurez alors un ton assuré quoi qu’il arrive.
L’articulation se travaille. Parler un peu moins rapidement permet d’améliorer son articulation de façon nette. Si besoin est, prenez un article de journal et citez distinctement chaque syllabe comme exercice.
Avoir une voix « placée » nécessite une bonne résonance dans votre cage thoracique. Elle doit être sonore. Travaillez alors votre respiration profonde, avec le ventre.
Pour l’intonation, vous pouvez renforcer l’impact de vos paroles en accentuant légèrement la dernière syllabe de votre message.
Enfin, le gestion des silences est ici très efficace. Après avoir dit quelque chose d’important, faites intentionnellement quelques secondes de silence en regardant votre interlocuteur droit dans les yeux, comme pour souligner l’aspect capital de ce que vous venez de dire. Votre interlocuteur va alors pouvoir s’en imprégner.
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7) Vos gestes
Du point de vue des gestes, inutile d’en faire trop. Je vais vous dire quelque chose d’une banalité affligeante: il vaut mieux rester naturel. C’est en tout cas bien mieux que de penser à ses gestes pendant que l’on parle, car vous serez centré sur vous et non ouvert à votre interlocuteur, et ça se verra! Mieux vaut paraître naturel que factice.
Pourtant, vous pouvez vous entraîner à mieux gérer votre attitude corporelle en famille. Tout votre apprentissage dans votre gestuelle deviendra automatique et spontanée.
Restez droit, les épaules en arrière et bien en appui sur vos deux jambes. Pensez à ne pas rester trop figé avec les bras et à privilégier plutôt les gestes amples et précis. En effet, l’erreur courante est de se percevoir comme quelqu’un qui en fait trop, alors que nos gestes sont étroits, un peu ridicules, et peu précis (ils sont mous, non affirmés, et ne s’arrêtent pas nettement). Vous le verrez bien si vous vous amusez à vous filmer en parlant, faites certains essais en accentuant vos mouvements, vos gestes avec les bras. Vous allez certainement découvrir que leur amplitude « démesurée » n’est pas aussi ridicule que vous vous l’imaginiez, et que votre impact visuel est plus marqué.
Enfin, ces gestes doivent refléter le calme intérieur. Des gestes amples et nets oui, mais excités et à fréquence maximale non. Je pense que vous avez compris ce que je veux dire.
Enfin, dans ce domaine il y a une grande règle à retenir: faire uniquement des gestes qui appuient mon discours, car tout mouvement inutile est nuisible.
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Votre impact personnel peut faire un bon spectaculaire. Vous savez quoi faire, maintenant à vous de jouer!
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mercredi 28 janvier 2015

Comment bien vous mettre en valeur ?

Comment bien vous mettre en valeur?
@123RF
Je vais vous donner ici les techniques du self-marketing, qui vous permettront de mieux présenter vos qualités et vos compétences dans votre vie professionnelle, et même personnelle.
  • Prenez conscience de vos véritables forces et de vos points faibles.
    Vos forces, utilisez-les au maximum, c’est ce qui vous démarquera des autres, alors n’hésitez jamais à vous donner à fond dans ces domaines.
    Quant à vos faiblesses, prenez conscience de leur existence, et de vos limites. En quatre mots: éliminez vos « facteurs limitant ». Corrigez quotidiennement ce qui gêne, et développez vos points forts. De cette manière, vous pourrez prendre des décisions plus réfléchies, et adopter de nouvelles habitudes très utiles dans votre vie professionnelle et privée.
  • Montrez-vous respectueux envers les autres.
    Il faut toujours se référer aux autres, car ils sont le moteur de vos progrès et de vos succès futurs. Traitez les autres avec respect et fixez en même temps des limites claires. Soyez toujours conciliant, agréable, et d’humeur constante (les « sauts d’humeur » sont souvent mal appréciés, a fortiori au travail).
  • Prenez conscience de la manière dont les autres vous voient.
    La manière dont vous vous percevez est souvent assez différente de l’image que les autres ont réellement de vous. Surtout si ils ne vous connaissent pas bien.
    Faites toujours attention à vos tics, dans vos expression du visage et gestuelle, dans vos intonations et dans vos expressions. Observez les gens qui ont du charisme, et copiez au maximum leur façon de bouger et de s’exprimer (en les adaptant un peu à votre caractère bien sûr).
  • Analysez correctement votre apparence.
    Je pense en particulier à la coiffure et à votre façon de vous habiller. Un formateur en jean et T-shirt, ce n’est pas génial. Peut-être que la personne se sent bien dans ces habits, mais son impact sur sa clientèle sera en général assez catastrophique. Alors si le costume ce n’est pas « vous » alors créez un autre « vous » qui aura du charisme et dont l’apparence fera ressortir les compétences.
    Bien sûr, ce code vestimentaire dépend du milieu dans lequel vous travaillez.
  • Nouez des contacts, cultivez votre réseau.
    Ayez l’air ouvert et aimable, j’en ai déjà parlé dans mon article « Comment plaire dans les premières secondes ».
    Participez à ce qui se passe autour de vous. Soyez présent à toutes les occasions.
    Engagez la conversation avec naturel, j’en ai également parlé dans mon article « Comment créer une relation intéressante avec seulement quelques informations ».
    Demandez des conseils aux autres, c’est un geste d’estime et de reconnaissance de leur valeur.
    Transmettez vos propres contacts, et demandez des contacts aux autres, par exemple pour rechercher des informations, des missions, des clients ou du travail.
  • Affirmez votre présence.
    Veillez à ce que vos paroles soient toujours suivies par des actes visibles. Soyez compréhensif des préoccupations des autres, soyez à leur écoute et posez leur des questions.
    Quand il vous vient une idée intéressante, proposez là dans des termes clairs et précis, avec les conséquences qu’implique votre projet. Faites en sorte que vos collègues se sentent concernés.
    Prenez toujours le temps de réfléchir, à tout (vous paraîtrez peut être plus lent, mais vous paraîtrez avant tout beaucoup plus crédible et sûr). Donnez ensuite votre avis en énumérant vos arguments et votre cheminement logique. Prenez ensuite le soin de demander aux autres ce que eux ils en pensent. Si il y a des objections, dites que vous allez réfléchir sur ces nouveaux arguments. Faites-le, et donnez ensuite votre avis sur la question, même si il n’a pas changé.
  • Prouvez votre valeur!
    La seule personne qui peut prouver aux autres ce dont vous êtes capables, c’est vous.
    Une personne vraiment compétente:
    Sait (connaît ses forces et ses limites, s’efforce de chercher des solutions et admet quand elle est impuissante).
    Se développe (dans le monde professionnel mais aussi personnel, partout où l’interaction avec les autres est en jeu).
    Montre ce qu’elle sait faire (elle est enthousiaste, s’implique avec énergie, est organisée et fait participer les autres, pour son progrès personnel et le leur).
« Tout ce qui brille n’est pas or.
Mais tout ce qui est or ne brille pas forcément. » (Friedrich Hebbel)
Réfléchissez bien à cette phrase, elle en dit plus qu’on ne le pense.
Vous êtes certainement d’or, alors apprenez à briller, pour votre bien et celui des autres.
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dimanche 25 janvier 2015

Emploi en Côte d’Ivoire: Seulement 25 % de la population sont salariés

Emploi en Côte d’Ivoire: Seulement 25 % de la population sont salariés


Sur les 23.123.026 habitants que compte la Côte d’Ivoire, seulement 25 % sont salariés.
Toutefois, 67 % des personnes ont des emplois indépendants. Ces statistiques qui donnent un aperçu du marché de l’emploi, ont été rendues publiques, le mardi 20 janvier 2015, au siège du Bureau international du travail (Bit) au Plateau, par Foa Bi Zaro Francis, ingénieur des travaux statistiques.
C’était au cours d’une formation, initiée par l’Agence d’étude et de la promotion de l’emploi (Agepe), à l’intention de 30 journalistes sur l’analyse des concepts du marché de l’emploi. « Les résultats de l’enquête emploi 2013 », est le module sur lequel s’est penché l’expert. Un regard qui a permis à l’ingénieur des travaux statistiques d’apprendre aux hommes de média que malgré son faible taux, l’emploi salarié demeure le plus rémunéré en Eburnie. A l’en croire, le salaire mensuel moyen est de 105.731 F Cfa pour l’emploi salarié quand celui de l’emploi indépendant est estimé à 57.657 F Cfa.

Le hic, a révélé le spécialiste de la question, c’est qu’en Côte d’Ivoire, sept (7) emplois sur dix ( 7/10) sont verbaux et ne sont formalisés par aucun contrat écrit. L’enquête réalisée sur le marché de l’emploi en 2013 fait également ressortir que le taux de chômage en Côte d’Ivoire est estimé à 5,3 % sur une population en âge de travailler évaluée à 14.501.981. Sur cette population, la tranche d’âge qui a été prise en compte, est de 14 ans et plus. A côté de ces travailleurs qui participent au développement de la Côte d’Ivoire cohabitent les chômeurs.

Abidjan, la capitale économique, selon Foa Bi, rafle la palme du chômage avec un taux élevé chez les jeunes et les femmes. En outre, le module 1 « Portée et intérêt de l’information sur le marché du travail » développé par Koné Pénatien, ingénieur statisticien a permis de savoir que le taux de chômage n’est pas un indicateur pertinent pour l’analyse du marché. M. Koné a, par ses explications, défini l’emploi comme tout travail réalisé en vue d’une rémunération ou d’un gain. Une définition qui a amené le statisticien à affirmer que le « Djosseur de nama » (gardien de voiture), le « cabinard » (gérant de cabine téléphonique), la vendeuse d’aloco, le balayeur de rue... sont des employés au même titre que les travailleurs du secteur formel, à la seule différence qu’ils n’ont pas de bulletin de salaire.

http://news.abidjan.net/h/521299.html
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jeudi 22 janvier 2015

5 conseils pour séduire une fille sur Facebook

5 conseils pour séduire une fille sur Facebook 

sources: http://www.lifestyle-conseil.com/seduire-fille-facebook/
crédit photo: http://www.lepagne.net/Miss-Pagne/info/
Tout le monde sait que les réseaux sociaux sont de formidables outils de communication qui permettent de dialoguer avec des personnes se trouvant aux quatre coins du monde. Parmi ces réseaux, Facebook est sans doute le plus influent de tous. Les femmes en raffolent et se comptent en millions d’utilisatrices. 
ONG Anoudêh: Jeunes diplômés en quête d'emploi, sachez aussi que ces conseils peuvent vous aider dans la recherche d'un emploi car les entreprises aussi possèdent des comptes facebook. Nous vous souhaitons une bonne lecture !
Alors comment faire de Facebook un allié dans la construction d’une image séduisante ?
Comment rencontrer et séduire une fille sur Facebook ? Voila un sujet intéressant qui nous amènera aujourd’hui à vous donner quelques conseils pour séduire sur Facebook, qui espérons le, vous seront utiles.

1. Les règles basiques de votre profil Facebook

Vous disposez sans doute vous-même d’un compte Facebook. Mais reflète-t-il une personnalité d’homme charismatique ? Là est la question. Avant tout, souvenez-vous qu’un homme séduisant est complètement détaché des enjeux relationnels liés à laséduction. Si votre statut marital devra être réglé sur « célibataire », la case « recherche » devra quant à elle être fixée sur « amitiés ». Vous n’êtes pas désespéré, pas vrai ?
Une fois ceci effectué vous devrez mettre en avant vos centres d’intérêt en insistant sur ceux qu’un maximum de femmes pourraient avoir en commun avec vous. Oubliez donc votre équipe de foot préférée et listez plutôt vos livres, activités et films favoris, de manière à démontrer votre culture et votre ouverture d’esprit.
La partie « à propos de vous » se doit d’être humoristique et impactante. Vous voulez sortir du lot, montrer que vous ne vous prenez pas trop au sérieux. Pour ce qui est du reste, remplissez les sections éducation, emploi et site internet (si vous en avez un) de manière à montrer que vous avez effectivement une vie en dehors des réseaux sociaux.
Il ne vous reste plus qu’à poster une photo avantageuse, invitante au contact (ni trop sérieuse, ni trop ridicule) et mettant en avant les atouts de votre physique (yeux,musculaturestyle), sans  non plus avoir l’air d’une gravure de mode (le tout doit rester naturel : pas de photos torse nu ou avec un pseudo-regard de braise). Les photos en groupe sont plus que souhaitables, pour montrer que vous avez aussi de vrais amis.
ONG Anoudêh: Jeunes diplômés en quête d'emploi, un bon profil facebook vous apportera un plus car aujourd'hui, certains recruteurs prennent le maximum de renseignements  en visitant les profils facebook des candidats à un test de recrutement.

2. Comment approcher sur Facebook

Si la proximité géographique peut faire partie de vos critères de recherche, la mise en évidence d’intérêts communs semble être plus pertinente pour faire des rencontres. Ainsi, pourquoi ne pas rejoindre des « groupes » ou liker des pages intéressantes dotées d’une forte population féminine ? Cela vous permettra de plus facilement entrer en contact avec ces dernières et de justifier vos demandes d’ajout à votre liste de contacts.
Avant même d’envoyer une requête à quiconque, essayez de vous démarquer en postant de temps à autre des commentaires humoristiques sur ces pages pour voir si on vous répond. Cela ne prend que quelques secondes et vous permettra de lancer des discussions et d’entretenir des échanges sans avoir l’air de rechercher quoi que ce soit.
Les femmes qui répondront à vos commentaires auront alors plus facilement tendance à vous accepter dans leurs contacts. N’oublions pas que cela ne coûte rien.
En revanche, évitez les messages personnels du type « je te trouve charmante » accompagnés d’une requête d’ajout…Vous tomberez le plus souvent sur un mur.
ONG Anoudêh: Jeunes diplômés en quête d'emploi, une fois que vous être abonnés  la page facebook d'une entreprise, essayer de vous démarquer en postant des commentaires pertinents et si l'on vous répond c'est un bon point.


3. Ne soyez pas seul au monde

De nombreuses femmes vérifieront l’éventail de votre liste de contacts avant de décider de vous accepter parmi leurs « amis ». Voilà pourquoi il est conseillé de multiplier ces demandes, sans restriction de sexe ou en se basant sur des critères physiques. Si vous n’avez que des mannequins parmi vos amies, on vous trouvera rapidement superficiel et on comprendra que votre objectif n’est pas de vous socialiser mais bel et bien de séduire.
Pour obtenir l’accord des femmes qui vous intéressent vraiment, vous allez donc devoir ajouter des personnes qui vous importent peu, simplement histoire de démontrer que vous êtes sociable et pas forcément intéressé par l’aspect de vos interlocuteurs (cela vous permettra aussi de repérer les contacts de ces nouveaux « amis » et de commenter des publications faites par ces derniers afin de vous faire connaître).
Si obtenir de nouveaux « amis » n’est pas le plus dur, c’est ensuite l’entretien de cette relation qui peut poser problème. Il va vous falloir un brin d’imagination et de savoir faire. Impossible de bombarder vos interlocutrices de messages privés ou de commenter toutes leurs publications si vous ne les connaissez pas…
ONG Anoudêh: Jeunes diplômés en quête d'emploi, de nombreuses entreprises vérifieront l'éventail de votre liste de contacts facebook avant de décider de vous accepter parmi leurs "employés". Nous vous conseillons d'avoir pour ami(e)s des personnes qui travaillent déjà dans l'entreprise visée ou qui ont une certaine renommée locale voir internationale.

4. Rapprochez-vous d’un de vos contacts

Une fois qu’une cible potentielle vous a accepté dans sa liste d’amis il va falloir travailler à l’élaboration d’un dialogue et d’une connivence. Pour ce faire, il est alors conseillé de se rendre sur son profil et de laisser quelques commentaires pertinents qui ne laisseront pas transparaître un désir de séduire.
Allez par exemple regarder ses photos et arrêtez-vous sur un paysage (de préférence une photo où elle est en bikini, mais où l’arrière-plan semble paradisiaque). Faites part de votre émerveillement.
« Waou, la Réunion, une eau turquoise, des espaces verts à perte de vue, ça a dû te dépayser ! ».
Voilà qui invite simplement à discuter, sans réellement montrer qu’en réalité son corps de rêve ne vous laisse pas de glace.
Dans la même optique, n’hésitez pas à commenter des statuts vierges de toute interaction afin de vous faire remarquer. Un « Mal aux pieds je hais ces chaussures ! »pourra alors par exemple être suivi d’un « si tu veux j’ai des sabots, mais ce n’est pas très pratique pour les longues journées shopping ! ». Soyez inventif, amusant et n’oubliez pas de taquiner gentiment votre cible.
Si ce genre de manœuvre ne pourra être effectuée tous les jours, cela vaut bien mieux qu’un like sur une photo sexy avec une mention « j’adore tes yeux »…qui ne ferait que placer votre interlocutrice sur un piédestal et briser votre image d’homme séduisant.
ONG Anoudêh: Jeunes diplômés en quête d'emploi, une fois que un des "employés" de l'entreprise visée vous a accepté, rendez-vousur son profil et laissez quelques commentaires pertinents pour tisser des liens d'amitié tels que pour les prochains recrutements, il puissent vous mettre la puce à l'oreille

5. Organisez une rencontre avec cette fille

Il est évident que vous ne pouvez pas vous contenter de rencontres virtuelles. Ce que vous voulez, c’est évoluer dans le monde réel. Il y a pour ce faire, plusieurs moyens, du plus audacieux au plus amusant. Commencez par exemple par vous renseigner sur les « événements » auxquels vos cibles potentielles prennent part.
Nombre d’entre eux sont publics et vous renseigneront sur le lieu et l’heure où vous pourrez rencontrer votre cible. Une fois l’information intégrée, il vous suffira de contacter la demoiselle en lui demandant comment s’y rendre. Si votre contact s’avère positif, vous pourrez même lui proposer de vous y retrouver.
Dans un autre registre, vous pouvez (après avoir largement sympathisé avec une femme en ligne) l’inviter à un des vos événements ou d’en créer. « Dégustation de vin place du Marais, samedi 17 à 19 heures ». C’est bien plus risqué, mais aussi plus amusant et plus original et démontre votre confiance en vous à votre interlocutrice.
Si vous êtes plutôt adepte de l’approche classique, notez cependant qu’une invitation ne pourra jamais être lancée sur le mur de votre cible. Elle risquerait d’être embarrassée et pourrait passer pour une fille un peu trop ouverte aux yeux du reste de ses contacts. Préférez alors un message privé ou vous l’inviterez à sortir et à vous donner son numéro afin d’organiser les derniers détails.
Séduire une fille sur Facebook présente sans doute moins de difficultés que le fait d’aborder une inconnue dans la rue par exemple. Vous ne risquez pas grand-chose et le vivier se compte en millions de cibles potentielles. Ceci étant dit, vous devrez faire preuve d’imagination et d’originalité pour convertir ces contacts en relations.
ONG Anoudêh: Jeunes diplômés en quête d'emploi, pour obtenir un entretien d'embauche, faites preuve d'imagination, participez  à tous les événements organis par l'entreprise tout en essayant d'y rencontrer physiquement l'employé(e) avec qui vous étiez en contact sur facebook. Vous ne risquez pas grand-chose sinon l'opportunité d'obtenir un stage ou un CDD voir même un CDI.
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